Léa is a teacher. Each September, she welcomes 20 new children with whom she will work in the coming year. Each time, she waves the dictionary in front of them, describing it as a treasure chest of the 26 letters. She tells them it includes everything they need to tell their stories – even the secrets that they dare not share with anyone. Even silence. And secrets and silence are a huge part of the legacy left behind by Téta, Léa’s beloved grandmother, who has just died at the age of 107. In this novel, Rima Elkouri untangles the threads of a scarred family history. Like Téta, who always had a tale at the ready, she tells the story of the Armenian genocide. Along the way, she illuminates a certain idea of Quebec and its immigrants. She does it with finesse and humility, on a human scale, making excellent use of her talent as a writer of portraits to get inside the lives of courageous people who are staunchly on the side of life.
« Manam est un premier roman qui n’en a que le nom. On pourrait croire à une deuxième ou troisième oeuvre de fiction de la part de quelqu’un qui a beaucoup vu et vécu. L’écriture de Rima Elkouri est maîtrisée et claire. Elle utilise une langue simple, parcourue de fort belles images, empreintes de compréhension, de générosité et de sagesse. »
« Devoir de mémoire, Manam égrène au fil des pages un récit aussi captivant que bouleversant. Beaucoup de journalistes prennent la plume, pas toujours avec bonheur. Mais la -ri-gueur historique de ce roman, sans jamais qu’elle paraisse plaquée, donne autant de crédibilité que de perspective aux évènements funestes d’il y a plus de 100 ans, en toile de fond. »
« Roman célébrant la mémoire, roman tragique, mélancolique, cette œuvre de fiction, mais qu’on sent bien proche de la réalité personnelle de l’auteure, rappelle que plusieurs immigrants portent en eux des histoires riches mais méconnues, que les descendants ont quasiment le devoir de faire connaître, de révéler. »
« Formidable, intense, puissant, singulier, magnifique (je pourrais continuer bien longtemps) roman. Allez acheter ça. »
Mylène de Repentigny-Corbeil / Les Herbes folles
« Le mot espoir est important. Fréquemment, il revient. L’espoir d’une vie meilleure lorsqu’on arrive dans un nouveau pays, l’espoir qui permet de tenir lorsqu’on doit rester dans celui qui est en guerre. »
« Un roman fort intéressant. […] Un livre qui touche un sujet sensible et malgré toute l’horreur racontée, Rima Elkouri a une plume teintée de tendresse, de beaucoup d’amour, d’espoir, de courage. »
« On retrouve la rigueur et la respectueuse pudeur de la chroniqueuse de La Presse, qui signe un premier roman. Un hommage sobre mais troué de lumière aux victimes de ces massacres. »
Laura Martin, Coup de Pouce
« Un livre phare, un futur classique de la littérature québécoise. »
« Le premier roman de la journaliste traite du génocide arménien de 1915 avec une sensibilité épatante et la plume la plus délicate qui soit. Malgré le sujet délicat, Rima Elkouri a écrit une œuvre qu’il fait bon de lire grâce à la tendresse qui se trouve dans chacun des chapitres. Un premier roman qui marie douceur et souffrance habilement et dont on retient surtout l’espoir. »
« C’est un premier roman réussi que nous offre la journaliste et chroniqueuse Rima Elkouri. On connaissait déjà son talent pour le mot juste, on lui découvre ici une plume sensible et intime. Un hommage touchant aux aïeuls et aux souvenirs qu’ils emportent trop souvent avec eux lorsqu’ils nous quittent. »
Audrey Martel, librairie L'Exèdre
« C’est un super livre. »
Maude Rodrigue, Québec réveille / CKIA-Québec
« Un livre qui en contient beaucoup. Outre l’émotion, on en apprend beaucoup sur le génocide arménien. C’est très touchant. »
« Des pages écrites dans une très grande douceur, mais qui parlent d’une grande brutalité, le génocide Arménien. »